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Les Sylvérides

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Présentation

Nés à l’aube de l’agonie du Titan, les Sylvérides sont apparus dans les lieux où le flux magique s’est infiltré profondément dans la flore. Plutôt qu’un peuple créé, ils sont le fruit d’une symbiose entre sève et mana : des plantes qui ont appris à marcher et à penser.
Leur corps humanoïde est constitué de fibres végétales vivantes, avec une peau variant du brun écorce au vert mousse, parfois parcourue de lueurs bioluminescentes. Chaque Sylvéride porte une “marque de germination” — une excroissance unique (branche, fleur, champignon luminescent, cristal-sève) qui reflète sa lignée.

Contrairement aux autres peuples, les Sylvérides n’ont pas de reproduction sexuelle classique : ils perpétuent leur espèce en plantant une graine-cœur, souvent au prix d’une grande partie de leur énergie vitale. Ainsi, chaque naissance est considérée comme un sacrifice et un acte sacré.


Traits raciaux (propositions basées sur les règles V2)

  • Corps végétal : réduction de 1 point de dégâts perforants par attaque (leurs fibres amortissent).

  • Sève régénératrice : une fois par repos long, récupérez 2d6 PV en absorbant lumière ou eau (1 action).

  • Symbiose du flux : avantage aux jets liés à la Nature et aux poisons (utilisation/soins/résistance).

  • Photosensibles : vulnérabilité à l’état Brûlure (feu et acide les affectent davantage).


Caractéristiques (plage de création)

  • Physique : 30–70

  • Agilité : 30–65

  • Constitution : 40–80

  • Esprit : 30–70

  • Perception : 35–75

  • Charisme : 25–65

  • Flux : 40–80 (ils sont très liés à la magie du vivant).


Culture

Les Sylvérides vivent en bosquets sanctuaires, des villages tissés de racines, de branches et de fleurs géantes. Leur société est horizontale : pas de rois, mais des “Anciennes-Racines”, les plus vieux Sylvérides, qui conservent les mémoires du peuple.
Ils vénèrent les Sources de Mana comme des divinités vivantes, voyant chaque lieu saturé de flux comme une matrice originelle.
Les Sylvérides sont pacifiques en apparence, mais deviennent des prédateurs redoutables lorsqu’un sanctuaire est menacé : leurs guerriers entrent en “mode floraison”, laissant leur corps se couvrir d’épines, de lianes ou de spores toxiques.